Chlef Célèbre Ses Artistes

Le mercredi 8 juin 2022, l’APC de Chlef a organisé, en étroite collaboration avec l’entreprise ButterflyCom & Events, un événement culturel et artistique sous le slogan « Chlef Célèbre Ses Artistes » à l’occasion de la journée national de l’artiste au niveau de la place de la solidarité de Chlef.
L’événement a vu la participation de plusieurs artistes-peintres chélifiens qui ont introduit l’événement avec une expo d’art plastique qui a créé un sentiment d’admiration et de ravissement chez la population chélifienne. M. Samira MEGHITH a mobilisé un groupe de jeunes talents habitués à son atelier de dessin qui se trouve au niveau de la maison de la culture de la wilaya de Chlef.


Un petit atelier de dessin était improvisé par l’artiste Anfel BOUZID et le jeune écrivain Aissa BOUSSAID qui a attiré et les petits gamins de moins de 10 ans ainsi que leurs parents.
Le début de la soirée a commencé par le jeune musicien/chanteur Imad Eddine MEHBALI qui a épaté le publique en jouant du saxophone où il les a fait voyager avec les morceaux les plus célèbres de les musiques classiques. Imad, ou comme il aime être nommé « MADOU », ne s’est pas contenté de la musique classique, mais aussi, il a chanté, en jouant sur sa guitare, des chansons algériennes avec sa voix aussi belle que puissante.

Oussama BOUGHRAB, un autre soliste, qui était l’auteur d’un deuxième choque culturel dans cet événement en jouant du Vivaldi, du Nino Rota et du Rolf Lovland avec son vieux violon.

Akram H. MANSOUR, le jeune musicien/chanteur qui n’a laissé personne du public sans avoir touché quelque chose au fond de lui avec sa douce voix en chantant des « Mawawil » accompagné par La vibration des cordes du Oud taquinées par les doigts du Cheikh Yacine BOUNADJA.
L’acteur Djamel OUDJEDI était aussi au rendez-vous où il a ramené une dimension humoristique à l’événement. Ce dernier fut presque la découverte du grand public, car il était connu par des rôles plus en moins sérieux.

Le groupe El-Fen Acil était au rendez-vous avec Cheikh Yacine BOUNADJA à sa tête. Les jeunes garçons en costume classique et les jeunes filles en habit traditionnel qui jouaient des mélodies du paradis andalou et qui chantaient avec des voix de sirènes.
La soirée était animée par le poété Djamel Bouzid qui a enchanté, lui et Mansour MOKHTARI, le public par leurs poésies à caractère national voire même chauvin.
Adel Hakim
Journaliste, Chroniqueur.