Appels d’ères

Certains sujets sont comme les saisons, ils reviennent régulièrement, espérés et toujours enrichis de nouvelles expressions. Celui qui nous concerne ce mois-ci, et plus précisément le 8 mars, en l’honneur de « la Journée internationale des Droits de la Femme », vient de recueillir comme dans le précédent numéro de « Ana Hiya : La femme maghrébine, droit dans les yeux » une participation très encourageante autour des arts visuels et de la littérature des femmes.
Penser cette journée particulière à travers les différentes propositions des contributeurs et particulièrement pour premier espace d’enjeu les cinq pays du Maghreb, c’est apporter sa pierre de touche pour mieux mesurer le degré de pertinence de ce thème. Le sommaire de ce numéro est à lui seul une promesse d’originalité des regards et de diversité des points de vue. Chaque proposition inspire, interroge et fait vibrer des voix différentes et complémentaires, comme autant de relais et de porte-voix indispensables pour confirmer l’interdépendance de pensées universelles. C’est pourquoi, nous tenons à exprimer toute notre reconnaissance à notre invitée d’honneur, la comédienne et militante tunisienne Leila TOUBEL, qui a signé par sa remarquable plume l’édito de ce deuxième numéro. Toute notre gratitude va aussi vers l’artiste plasticienne algérienne Samia CHELOUFI qui a illustré par son univers onirique et haut en couleurs la couverture de ce numéro.
Nous remercions également chaque contributeur pour l’originalité des articles, textes et réflexions visuelles proposés ; Leïla SEBBAR, Hanen MAROUANI, Djouher MEZDAD, Edia LESAGE, Afif MOUATS, Asma BAYAR, Mohamed ABDALLAH, Nouha Wafaa HADDAOUI MESSAOUDI, Aya AMOR CHRIKI, Nourreddine LOUHAL, Alya MLAIKI, Christophe CONDELLO, Hanen ALLOUCH, Anne TRICOT, Hadjer BELHAMIDECHE et Nouha YAAKOUBI.
Nous remercions enfin, le directeur de la publication M. Abdelhakim Youcef Achira et toute l’équipe de Trait-d’Union Magazine pour sa remarquable synergie qui a permis à ce deuxième numéro de « Ana Hiya » d’arriver à bon port. Que ces généreux contributeurs et contributrices soient remerciés d’initier et de pousser toujours plus loin des réflexions sur le devenir de nos sociétés.
Jacqueline BRENOT et Imèn MOUSSA
Rédaction